Communard
Garde, sous la Commune de Paris, au 82e bataillon fédéré, Bénarz fut de ceux qui signèrent une lettre collective au général Dombrowski le priant de les considérer comme « des plus chauds partisans de la Commune ».
Le 17e conseil de guerre le condamna, par contumace, le 12 juillet 1872, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il fut amnistié en 1879. Voir W. Wroblewski.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/853, n° 1063. — Arch. Min. Guerre, 17e conseil (n° 531). — Krystyma Wyczanska, Polacy W Komunie Paryskiej 1871 R, Varsovie, 1957.