Né à Charolles (Saône-et-Loire) en 1841 ; tailleur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pendant la Commune de Paris, Benoît fut capitaine adjudant-major au 208e bataillon de la Garde nationale. Le 3e conseil de guerre le condamna, le 10 novembre 1871, à la déportation dans une enceinte fortifiée, peine commuée en déportation simple (1876), puis en résidence obligatoire (1878), et finalement remise ; il rentra par la Picardie.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés.