Né le 12 octobre 1854 à Saint-Étienne (Loire) ; cannier ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie ; mort en 1875 au cours d’une évasion collective.
Condamné après la Commune de Paris, par le 13e conseil de guerre, à la déportation simple, Martin Berger fut débarqué à Nouméa le 2 novembre 1872.
Il s’évada, le 12 mars 1875, avec d’autres condamnés dont le docteur Rastoul. Ils périrent en mer.
Sa peine fut néanmoins commuée en dix ans de bannissement, en 1879.
SOURCE : Arch. Nat., BB 27. — Notes de Louis Bretonnière.