Né vers 1847, fils d’un marchand de vins à Arnouville (Seine-et-Oise) qui peut être Arnouville-les-Gonesse ou Arnouville-les-Mantes ; bijoutier ; communard.
Prosper Bergerie était célibataire. Il servit la Commune de Paris au 207e bataillon de la Garde nationale comme caporal ; il fut condamné le 30 avril 1872, par le 12e conseil de guerre pour port d’armes, à cinq ans de détention. Il fut incarcéré le 2 décembre 1872 à Belle-Île-en-Mer (Morbihan), gracié le 14 février 1877 et renvoyé à Paris.
SOURCE : Arch. Nat., BB 24/824. Arch. Dép. Morbihan, série Y, écrou 1835.