Né le 15 janvier — ou le 15 avril — 1849 à Paris ; serrurier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
François Berrier était célibataire. Il avait subi quatre condamnations pour vol et mendicité avant 1870. Pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 12 avril 1872, par le 26e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée en cinq ans de bannissement, en 1879. Il rentra par le Tage.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/848 et H colonies 71. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.