Né près de Turin (Italie) ; communard.
Joseph Bersia se disait franc-maçon. Pendant les quatre mois de sa détention à Brest pour avoir prêté son concours à la Commune de Paris, sa femme fut hébergée par un certain Uslenghi qui habitait à Paris, 121, boulevard de Ménilmontant, XIe arr. Après sa libération, Bersia et sa femme demeurèrent encore un mois chez Uslenghi. Par lettre du 15 octobre 1871, ce dernier se plaignit au Grand Orient que Bersia et sa femme fussent partis sans laisser d’adresse en lui devant 290 f. Voir E. Thirifocq.
SOURCE : Archives du Grand Orient (Bibl. Nat.). Cote 1632. Vol. III. Suppliques au G... O..., 1870-1872.