BLANQUIÉ Jean-Marie

Né à Sénezergues (Cantal) le 13 janvier 1844 ; tourneur sur bois ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.

Blanquié était marié, père de deux enfants. Il fut garde national, pendant la Commune de Paris, au 76e bataillon fédéré, et le 10e conseil de guerre le condamna, le 23 mars 1872, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il fut ramené par le Navarin.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article53027, notice BLANQUIÉ Jean-Marie , version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 26 novembre 2018.

SOURCES : Arch. Nat., BB 24/824. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.

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