Né à Sénezergues (Cantal) le 13 janvier 1844 ; tourneur sur bois ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Blanquié était marié, père de deux enfants. Il fut garde national, pendant la Commune de Paris, au 76e bataillon fédéré, et le 10e conseil de guerre le condamna, le 23 mars 1872, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il fut ramené par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/824. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.