Né le 28 mars 1842 ; boulanger ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Blondeau était célibataire. Pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 12 mars 1872, par le 24e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine fut commuée en sept ans de détention, en 1878, et remise en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/846. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.