Né le 16 juillet 1854 à Paris ; garçon fumiste ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
« Pupille du Siège », Charles Blondin servit la Commune de Paris au 103e bataillon fédéré comme garde national. Il avait été condamné, avant 1870, à huit jours de prison pour mendicité ; le 29 mai 1872, le 3e conseil de guerre le condamna à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872, puis fut amnistié en 1879.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.