Né le 9 mai 1823 à Amiens (Somme) ; ferblantier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Michel Bodard était veuf, père de cinq enfants. Il était à Lyon au début de 1871, mais revint à Paris le 22 avril. Le 20e conseil de guerre le condamna, le 23 mai 1872, pour services rendus à la Commune de Paris, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée, en 1877, en résidence obligatoire, celle-ci étant remise elle-même en 1879.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés.