Commis-mercier ; blanquiste.
Le 7 novembre 1866, Julien Boétzel fut arrêté à la réunion du Café de la Renaissance organisée en vue de régler l’affaire Protot (celui-ci était intervenu, malgré Blanqui, au congrès de l’Internationale tenu à Genève en septembre précédent). J. Boétzel ne fut pas condamné. Voir Ed. Levraud.
SOURCE : M. Dommanget, Blanqui et l’opposition révolutionnaire à la fin du Second Empire, Paris, Armand Colin, 1960.