Né en 1841 ; scieur de pierre ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pour avoir servi la Commune de Paris, François Bonnet fut condamné, le 7 mai 1872, par le 20e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il fut ramené par la Loire.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.