Né le 13 octobre 1832 à Nevers (Nièvre) ; communard.
Célibataire, il avait subi quatre condamnations pour vol, rébellion, coups et blessures, puis une autre, pour coups, en 1864.
Sergent au 184e bataillon de la Garde nationale pendant la Commune de Paris, Paul Bontemps fut condamné à mort, le 24 août 1875, par le 3e conseil de guerre, pour « désertion à l’intérieur », peine commuée, le 8 novembre 1875, en travaux forcés à perpétuité, puis en déportation simple en 1880.
Avait-il une parenté avec Bontemps Edme ?
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/817 et BB 27.