Né le 25 décembre 1825 à Champgenéteux (Mayenne) ; maréchal-ferrant ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Alphonse Bouvier était entré au service en 1838 et, avant 1870, avait encouru trois condamnations pour escroquerie, vol et désertion. Pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 18 décembre 1871, par le 13e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872, puis fut amnistié en 1879 et ramené par le Tage.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.