Né le 19 mars 1828 à Paris ; terrassier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, sans enfant. Pour avoir servi la Commune de Paris, le 17e conseil de guerre condamna Gustave Brassac, le 19 janvier 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié, il fut ramené par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.