Né en 1833 à Droué (Loir-et-Cher) ; communard, probablement mort dans les combats contre les Versaillais.
Capitaine adjudant-major, en 1871, au 169e bataillon fédéré, Eugène Brasseur fut condamné par contumace, le 17 octobre 1872, par le 20e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, et amnistié en 1879. Il « aurait été tué à la tête de son bataillon au mois de mai 1871 ».
SOURCES : Arch. Min. Guerre, 20e conseil, n° 579. — Arch PPo., listes de contumaces.