Né le 30 décembre 1819 à Albon ? (Seine-et-Marne) ; boulanger ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Christophe Bridou avait été condamné deux fois pour violences, en 1848 et 1850. Il fut clairon sous la Commune de Paris, et le 9e conseil de guerre le condamna à la déportation simple, le 18 décembre 1871 ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872, puis fut amnistié et ramené par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/838. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.