Né le 7 avril 1827 à Viviers-sur-Artaut (Aube) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde aux Tirailleurs de la Commune, Pierre Bruère fut condamné, le 10 février 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il fut ramené par la Loire.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.