Né le 1er janvier 1852 à Gênes ; sujet italien ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. De onze à quinze ans, il avait séjourné en maison de correction ; puis il était devenu cordonnier. Augustin Bucciali servit la Commune de Paris, et le 5e conseil de guerre le condamna, le 22 avril 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 9 février 1873, puis fut amnistié en 1879 et rentra par la Picardie.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/838. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.