Né le 14 octobre 1850 à Saint-Jean-le-Vieux (Aisne) — ou Ain ? ; tailleur de pierre ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Caporal au 156e bataillon de la Garde nationale en 1871 d’après ses déclarations, il fut condamné, le 1er mars 1872, par le 1er conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, et arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié en 1879, il rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/811. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.