Né le 28 mai 1828 à Paris ; journalier ou chiffonnier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, sans enfant. Il servit la Commune de Paris au 234e bataillon fédéré comme simple garde et fut condamné, le 3 avril 1872, par le 13e conseil de guerre, à la déportation simple ; il avait subi auparavant trois condamnations, dont deux pour vol. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872, puis fut amnistié en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834 et H colonies 75. — Note de Louis Bretonnière.