Né le 22 mars 1844 à Paris ; y demeurant ; commissionnaire ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Caporal à la 3e compagnie de marche du 182e bataillon de la Garde nationale pendant la Commune de Paris, il fut condamné, le 14 février 1872, par le 5e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Sa peine lui fut remise le 12 juillet 1877, et l’obligation de résider le 15 janvier 1879 ; il rentra avec la Vire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/768. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.