Né en Bavière ; verrier ; adhérent de l’AIT à Lyon.
Il s’installa à Lyon vers 1865 avec sa femme, une veuve (Voir J. Schild). Membre de l’Internationale, libre penseur, il exprima avec vigueur ses sentiments au moment de la guerre franco-allemande. Il condamna aussi bien l’attitude du souverain prussien que celle de Napoléon III. Ses propos provoquèrent l’intervention de la police.
SOURCE : Arch. Mun. Lyon, I 2/55, pièce 87.