Né le 20 juillet 1845 aux Loges (?) (Indre) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde au 244e bataillon pendant le premier Siège, il y resta durant la Commune de Paris et, arrêté le 28 mai 1871, prétendit « ne pas s’être battu ». Le 17e conseil de guerre le condamna, le 3 avril 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 9 février 1873, puis fut amnistié le 15 janvier 1879 et rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/839. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.