Né le 14 septembre 1833 à Blessire (?) (Creuse) — serait-ce Blessac ? ; domestique ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Pour avoir servi la Commune de Paris, le 8e conseil de guerre le condamna, le 13 avril 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Après l’amnistie, il revint en France par la Loire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.