Communard.
Garde national au « 1er éclaireurs », fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 1.000 f. comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Voir Abadie.
Ne pas confondre avec Charles Charpentier, communard lui aussi, qui fit partie de la 4e compagnie sédentaire du 97e bataillon de la Garde nationale.