Communard
Garde national au « 1er éclaireurs », fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 1.000 f. comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Voir Abadie.