CHASSÉ

Communard

Garde national au 88e bataillon fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 965 f. comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Le 2 mai, 25 f. avaient été également versés au titre de secours en argent aux blessés. Voir Abadie.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article55210, notice CHASSÉ, version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 2 février 2019.
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