Né le 11 novembre 1834 à Chamant (Cantal)-Oise ? ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; de 1859 à 1873, il subit cinq condamnations, pour vols et escroqueries ; après la Commune de Paris qu’il avait servie au 151e bataillon comme simple garde, et pendant laquelle il avait été blessé, il fut condamné, le 7 mai 1875, par le 1er conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 30 janvier 1876. Amnistié, il revint par la Creuse.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/841. et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.