CHEVREUX François, Pascal

Il avait été condamné, le 18 novembre 1862, à Paris, à quatre mois de prison pour outrage à la pudeur.
Pendant le 1er Siège de Paris, il appartint au 212e bataillon de la Garde nationale et continua son service après le 18 mars 1871 comme simple garde. Le 22e conseil de guerre le condamna, le 3 mai 1872, à la déportation simple, après qu’il eut été arrêté le 22 mai dans une caserne de pompiers ; il arriva à Nouméa le 9 février 1873. Sa peine lui fut remise le 20 mars 1879 et il rentra par la Creuse.