Né en 1836 ; maçon ; communard.
Il était marié, père d’un enfant. Pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 8 mai 1872, à dix ans de travaux forcés ; sa femme et son enfant vinrent le rejoindre en Nouvelle-Calédonie ; il fut amnistié en 1879. Probablement se confond-il avec Marie, Jules Constant.
SOURCES : Arch. Nat., BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.