CONTAL François

Il était célibataire. Il avait été condamné, le 25 janvier 1850, à trois ans de prison pour vol au préjudice d’un militaire et avoua une autre condamnation, en 1848, à quinze jours de prison pour port d’arme prohibée. On le dit « ouvrier laborieux et honnête ».
Sous la Commune de Paris, il appartint, comme sous le 1er Siège, à la 3e compagnie sédentaire du 233e bataillon de la Garde nationale.
Le 15e conseil de guerre le condamna, le 18 avril 1872, à deux ans de prison et à dix ans de privation de ses droits civiques (il avait été arrêté le 27 mai 1871, rue de Paris, XIIIe arr.).