CORBIÈRE Gaston, Hippolyte

Il était célibataire. Engagé volontaire pour la durée de la guerre au 29e régiment de ligne, il fut licencié après l’armistice et se fit incorporer, début avril 1871, au 77e bataillon fédéré ; le 8 avril, il alla à Asnières, rentra à Paris le 19 et, le 5 mai, était à Vanves.
Il avait été condamné, le 16 mars 1870, à huit jours de prison pour vol ; le 26 mars 1872, le 11e conseil de guerre le condamna à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Sa peine fut commuée, le 8 mai 1879, en dix ans de bannissement, avec remise du reste le 27 novembre 1879.