Né à Peyrat-la-Nonière (Creuse) le 29 novembre 1836 ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie, où il mourut.
Il avait été condamné pour outrages publics à la pudeur. Garde au 248e bataillon fédéré, il avait travaillé jusqu’à fin mars 1871 ; il fut pris par les Prussiens, le 28 mai, à la porte de Romainville.
Le 22e conseil de guerre le condamna, le 6 mai 1872, à la déportation simple ; sa peine lui fut remise le 11 mars 1879, mais il mourut le 6 juin de la même année à l’île des Pins.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/839, BB 27 et H colonies 76.