Né le 22 août 1845, à Cendrecourt (Haute-Saône) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Attiré à Paris, en 1867, par son oncle Fournier Joseph, il fut blessé dans les rangs des troupes fédérées, et le 10e conseil de guerre le condamna, le 6 avril 1872, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 4 mai 1873.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.