COUSIN Henry

Henry Cousin résidait 14, avenue « du Bel-Air-du-Trône » (ou « rue du Bel-Air-du-Trône » ?), et sa femme y habitait toujours quand il signa son recours en grâce. Il avait servi dans la marine française comme matelot « classé » jusqu’au 8 mars 1871, date à laquelle il « a été congédié de la flotte » ; il travailla ensuite dans les ambulances, mais ne fit jamais partie de la Garde nationale fédérée ; il fut condamné à un an de prison, 25 f d’amende, et cinq ans de surveillance « pour menaces verbales de mort » pendant l’insurrection (13e conseil de guerre, 11 décembre 1871).