Né le 19 avril 1854 à Monthyon (Seine-et-Marne) d’un père charretier ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il fut, sous la Commune de Paris, garde au 275e bataillon de la Garde nationale, et le 8e conseil de guerre le condamna, le 26 mars 1872, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872, matricule de déportation 451. Sa peine fut commuée, en 1877, en sept ans de détention et remise en 1878. Il rentra par la Loire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/822. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.