Né le 4 février 1839 à Chamborand (Creuse) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde, sous la Commune de Paris, au 160e bataillon fédéré, il fut condamné, le 15 avril 1872, par le 20e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 9 février 1873. Sa peine fut commuée en sept ans de prison, en 1877, et il rentra par le Navarin en 1878.
SOURCES : Arch. Nat., BB 27. — Note de Louis Bretonnière.