ELMONI Modeste

Pendant le 1er Siège, il était simple garde dans le 167e bataillon. Lors de l’armistice, il retourna à Levallois-Perret. Dès le début de l’insurrection, il se trouvait dans la 2e compagnie de marche du 132e bataillon ; il fut arrêté, le 23 mai 1871, à Montmartre (XVIIIe arr.).
Son frère, simple garde dans la même compagnie, fut condamné à dix ans de bannissement. Le 31 mai 1872, le 19e conseil de guerre le condamna à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Sa peine lui fut remise le 4 janvier 1878. On lui supprima l’obligation de résidence le 15 janvier 1879, et il rentra par la Vire.
Il était vraisemblablement le frère de Jean Elmoni.