Communard ; adhérent de l’AIT.
Réfugié à Londres après la Commune, il fit partie de l’Internationale et fut le « fondateur de la Marmite », sans doute restaurant coopératif pour réfugiés de la Commune créé à l’imitation de celui de Paris à la fin de l’Empire et de celui de Genève après la Commune. Associé à un Anglais et à un certain Bertin, il est qualifié de « premier exploiteur du fameux procédé céramique ».
Après le congrès de La Haye de septembre 1872, il fit partie de la section constituée à Londres par les blanquistes Le Moussu, Vaillant, C. Martin, etc., qui comprenait une trentaine d’adhérents (cf. Dict., t. IV, p. 79).
Il y a vraisemblablement identité avec E. Fondeville.
SOURCE : Arch. PPo., B a/428, pièces 665 et 709 (le nom est orthographié soit Fondeville, soit Fondevielle).