Né le 31 octobre 1847 à Saint-Estèphe (Gironde) ; jardinier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; il avait subi avant 1870 quatre condamnations pour vol.
Soldat au 45e régiment d’infanterie, il fut condamné, le 27 mars 1872, par le 22e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Il vit sa peine commuée, en 1879, en cinq ans de bannissement. Il rentra par le Tage.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/836 et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.