Né le 21 mai 1850 à Épernay (Marne) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; soldat au 32e régiment de ligne, il fut condamné, le 4 avril 1872, par le 2e conseil de guerre, à la déportation simple pour participation à la Commune de Paris ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine lui fut remise, en 1877, contre obligation de résider en Nouvelle-Calédonie. En 1876, son patron s’était engagé à le reprendre.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/836. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.