Né le 4 mars 1844 à Paris ; matelot aux équipages de la flotte ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Étant en congé, il se fit admettre, pendant la Commune de Paris, au 96e bataillon de la Garde nationale où était son père. Le 1er conseil de guerre le condamna, le 4 mars 1872, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine fut commuée, en 1878, en sept ans de détention.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/823. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.