GALLEBRUN Étienne

Il était célibataire. Pendant le 1er Siège, il était simple garde dans la 3e compagnie de marche du 182e bataillon de la Garde nationale et il continua son service sous la Commune de Paris ; il fut blessé le 12 mai 1871 dans le parc d’Issy et fut transporté, le 13, à l’ambulance du Palais de l’Industrie ; il fut fait prisonnier le 22.
Le 8e conseil de guerre le condamna, le 2 mai 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Il obtint la remise de sa peine, le 15 janvier 1879, et rentra par le Var.