Né le 24 juillet 1842 à Sauvigny (Meuse) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il fut, sous la Commune de Paris, lieutenant fédéré, après avoir été caporal au 1er bataillon d’infanterie légère d’Afrique.
Condamné, le 5 juillet 1872, par le 2e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, il arriva à Nouméa le 9 août 1874. Il fut amnistié et ramené par le Navarin.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.