Militant de l’AIT à Paris
Parisien, membre de la section Brantôme de l’Association Internationale des Travailleurs, il signa le manifeste contre la guerre adressé aux travailleurs de tous pays, en juillet 1870 (cf. Dict., t. IV, p. 48).
Sans doute fut-il, en avril 1871, secrétaire-correspondant de la section. Il habitait alors, 65, rue du Faubourg-Saint-Denis, Xe arr.
Le nom est orthographié par erreur « Gondinière » dans Le Réveil du 14 juillet 1870. Et encore « Gaudinière » dans Le Rappel du 29 octobre 1870.