Né aux environs de 1840-1843 ; ouvrier fondeur ; adhérent de l’AIT ; communard.
Il fut délégué de la Sûreté générale (quartier du Gros-Caillou, VIIe arr.), pendant la Commune de Paris ; membre de la Chambre syndicale des ouvriers fondeurs adhérente à l’Internationale (cf. Dict., t. IV, p. 74).
Son dernier domicile connu avant 1871 était, 176, rue de Grenelle-Saint-Germain, à Paris.
Par contumace, le 9e conseil de guerre condamna Alexandre Gérich, le 11 décembre 1872, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il fut gracié le 5 juin 1879. Toutes mesures de principe, car Gérich avait été porté « disparu » le 22 mai 1871.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/862, n° 5735. — Arch. Min. Guerre, 9e conseil, n° 661. — Arch. PPo., listes de contumaces.