Né le 7 février 1844 au Puiset-Doré (Maine-et-Loire) ; boulanger ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; il avait été condamné trois fois avant 1870, à Tours (Indre-et-Loire), en 1869, pour vol, à Orléans (Loiret) pour rixe et tapage. Il fut condamné pour faits insurrectionnels, le 7 février 1872, par le 20e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il rentra en France par la Loire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.