GIFFRAY Léon, Jules

Il était célibataire ; il avait subi, en 1869 et 1870, cinq condamnations variant de quinze jours à trois mois de prison pour outrage à la pudeur, vol et vagabondage, puis, le 13 août 1870, pour attroupement.
Soldat du 21e régiment de chasseurs à pied passé à la Commune de Paris, il fut condamné le 6 février 1872, par le 6e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié, il rentra par la Loire.