Né le 28 février 1835 à Paris ; scieur de long ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, père d’un enfant ; il avait subi avant 1870 une condamnation pour cris séditieux.
Lieutenant dans les troupes fédérées, il fut condamné, le 1er décembre 1871, par le 9e conseil de guerre, à la déportation ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/836. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Notes de Louis Bretonnière.